Entre la révocation des directeurs généraux corrompus proches du CPT et le changement des ministres proches de Garry Conille, l’intensification de l’insécurité dans les quartiers populaires, représente-t-elle une autre forme d’amnistie ?
Une stratégie politique du courant politique rétrograde refait surface. Alimenter l’insécurité pour prendre plus d’espace dans le pouvoir, renforcer les gangs et les zones de non-droits. Une équation simple!
Les conséquences seront néfastes. Les cibles sont connues : école, hôpitaux, zone urbaine. La lettre du CPT parle d’échec de Conille et de son gouvernement. Le bilan des cent jours conclut un échec global.
Depuis l’après Ariel Henry, aucune décision d’envergure n’a été prise. Aucun machann bal n’a été listé, auditionné, voire arrêté. Au contraire, celles et ceux impliqués dans le trafic d’armes et d’autres dossiers sont libérés au nom de la justice Carlos Hercule.