Trois (3) mois de présidence tournante bouillante de Fritz A. Jean, trois mois d’illusions, d’échecs, de gestion d’un budget de beurre et surtout d’une présidence tourmentée.
Héritée de la présidence de Lesly Voltaire dont l’essentiel de l’action s’était limité au sacrement symbolique de « Manman Marie », Fritz Jean s’est dérouté.
Pas un seul territoire reconquis!
L’emprise des gangs s’élargit. Les drones sont politisés et rendent l’État sans autorité. Par ailleurs, alors que les citoyens vivent sous pression constante, les insouciants du CPT et du gouvernement expérimentent la climatisation quotidienne, le surpoids et le luxe.
Le CPT est confiné dans le luxe et la richesse personnelle pendant que le peuple survit dans la poussière, les fatras et la peur.
En bon technocrate, Fritz Alphonse Jean se contente de gérer son budget de beurre à travers entre autres le PNCS et des ministères déconcentrés, comme s’il confondait une coopérative avec un pays.
Preuve, après trois mois, la restauration de la sécurité, le combat pour défendre la souveraineté nationale demeurent sans effet. La gestion de la présidence tournante de Fritz Alphonse Jean ressemble à un exercice de gestion d’un motel climatisé, sécurisé, déconnecté et stérile.
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