Trois mois après le lancement du Programme Parole humanitaire qui a suscité une demande importante de passeports, Ariel Henry a participé, ce vendredi 31 mars, au lancement du DELIDOC. Une initiative qui a reçu un feedback intéressant et étonnant, ce, malgré le halte-là lancé par Altema.
En tant que technicien et professionnel accompli, et ayant servi l’État, on aurait pensé que la position d’Altema aurait été plus élégante. Bref !
La position PAM PI BON a encore pris le dessus. Hélas !
En vue de contrer toute éventuelle position de BABY DOC face au DELIDOC, il sera noté des avantages de ce programme à un moment où même le site américain USCIS présente des failles et des lenteurs inexplicables dans le traitement de nombreux dossiers en souffrance. Cependant, l’absence du Directeur Général de l’intérieur est un revers pour les propriétaires d’agences installées dans les coins et recoins du MICT et aux locaux de l’immigration, d’une part. D’autre part, l’absence très remarquée du Directeur Général des Archives nationales, le doyen des Directeurs Généraux de l’administration publique, n’est pas anodine.
DELIDOC pourrait sauver les Archives nationales de son statut de société anonyme par rapport aux modèles de gestion patriarcale de Wilfrid Bertrand ?
AK LANSMAN DELIDOC ARIEL SANBLE BAY RAKETÈ AK KORIPTÈ GWO KOU !
PA ANMÈDE L !
Pour ce qui est de la suite, nous nous concentrerons sur certains points obscurs, sur l’initiative haïtienne du programme, sur l’aspect national du programme sans le financement d’ONG et sans contrepartie monétaire.
