De jour en jour et à chaque décision prise pour le bien-être individuel des syndicats, des doutes persistent sur l’implication ou non de l’actuel directeur de la DGI Romiald PETIT dans l’éventuel financement du mouvement de grève, de paralysie des activités de la DGI qui avait conduit à la révocation du Directeur Générale Emmanuel Casséus…
Se faisant PETIT pour conserver son poste à la DGI, 𝗥𝗼𝗺𝗶𝗮𝗹𝗱, le maniable, arrive à satisfaire à plus de 80% les revendications des syndicats de la DGI, les tombeurs d’Emmanuel Casseus.
Avec un directeur général adjoint pro-syndicat qui contrôle totalement la DGI, Romiald devient un Petit DG aux yeux des employés. Comme preuve, des employés promus au poste de directeurs départementaux, exigent entre autres la nomination de leurs femmes à la DGI ainsi que d’autres avantages et privilèges, dont des frais pour la deuxième résidence.
Romiald restera-t-il un PETIT directeur général ou un directeur général écran dans les poches des syndicats et à la traîne du tout-puissant directeur général adjoint, Alfred PIERRE.
