Après 25 ans d’échec et de manque d’opérationnalité à la tête de la Direction des opérations et des réseaux de l’ONA, une direction moribonde comme la direction juridique entre autres, la nomination de Ronald Bazile à la Direction Générale représente une victoire pour l’expérience, mais un grand passif pour l’ONA.
Voilà ce qui arrive lorsque des directeurs de service des entreprises Etatiques travaillent contre la modernisation institutionnelle. Voilà aussi la limite des revendications syndicales pour influencer le choix de remplacement d’un Directeur Général.
À entendre le délai de douze(12) mois avancé par le directeur adjoint de l’ONA, D’Johnson Absolus, pour informatiser l’ensemble des services de l’ONA, on comprend absolument que le poste de directeur adjoint a été créé pour un TI ZANNI. À partir de quoi ladite évaluation de douze(12) mois a-t-elle été faite, M. le directeur général adjoint ?
Ronald Bazile doit comprendre que le karma existe et se trouve face à ses manœuvres politiques pour boycotter toute stratégie de modernité à l’ONA, à en croire l’un de ses ex-collaborateurs.
Quelles sont les véritables missions de Ronald Bazile à l’ONA ? Partie 2
