Faute de retrouver le vrai fils autoproclamé de Dessalines qui semble trop occupé dans les contrats de ZANGUI et à la recherche des postes au sein du gouvernement, le pays de nos ancêtres cherche un leader.
Pourrait-on compter sur la capacité de convocation de ceux qui veulent EDE après leur échec et leur possibilité ratée d’aider le pays à en finir avec cette histoire de gang ?
Qu’est-ce qui nous reste comme carte et comme atout pour faire comprendre aux membres du CPT et aux conseillers musiciens qui jouent des partitions de déstabilisation ainsi qu’au DJ de la Primature, Premier ministre de son état, que tout le pays danse au rythme du RABODAY et que la classe moyenne prenne la place des KOKORAT de Delmas.
À force de ne pas avoir pu trouver un Poutine, le pays cherche un Zelensky qui pourrait discuter et faire du tac au tac avec les Yankees. Pas un groupuscule de conseillers présidents qui acceptent de discuter de leurs attributions, de révoquer et de nommer un simple directeur général avec un représentant blanc, mais un Zelensky, un sacrifié.
Le pays cherche un Zelensky qui peut troubler le sommeil d’un ambassadeur américain et le déclarer persona non grata pour ses prétendus liens avec les gangs.
Le pays cherche un Zelensky qui peut rendre ovale une discussion circulaire dans les territoires de Vitelom à Tabarre, où sont logés l’une des plus importantes ambassades américaines dans le monde, en termes d’espace et d’espace de pouvoir.