Pour la célébration des 101 ans de la Direction Générale des Impôts (DGI), l’argent a coulé comme du sang aux différentes directions départementales. Pour la zone métropolitaine, le Directeur Général Romuald Petit veut définitivement guérir les 101 plaies du syndicat qui ont rejeté Emmanuel Casseus pour non partage du pouvoir et des recettes de la DGI.
Conscient des désordres, le père Wisly Jean-Charles de Miragoâne a rappelé aux responsables de la DGI que celui qui perçoit doit servir pour pouvoir mieux redistribuer les ressources au bénéfice de la majorité.
Concernant la promesse de l’intervention de l’inspection fiscale du ministère de l’Économie et des Finances pour inspecter et auditer les centres de perception d’impôts des directions départementales, la stratégie paraît tardive et suspecte. Les nominations made in Romuald-Alfred n’ont-elles pas été effectuées dans l’objectif d’effacement des preuves ?
Avec l’arrestation de Jonas Jean, chef de la section d’identité, le directeur général Romuald Petit, qui se faisait petit pour ne pas s’attirer les foudres du syndicat, espère cette fois bénéficier de plus de marge de manœuvre.
Analyse Média promet de revenir sur l’identité des collaborateurs immédiats de Jonas Jean et les bienfaits de son arrestation pour la direction générale et surtout pour Romuald Petit. Ce dernier est en passe de devenir un grand directeur général et non ce petit directeur général sous pression des membres du syndicat à qui ils offrent des postes et des avantages indus et disproportionnés.
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