Par le passé, on pensait qu’Haïti était en danger de s’effondrer en raison de l’expiration du non-renouvellement de la loi HOPE/HELP.
Avec un ministre des industriels qui entretient de bonnes relations commerciales avec les PO WOUJ, James fonctionne par hasard et se conforme parfaitement aux dictées de sa nouvelle patronne politique, Raina Forbin.
Il est clair que des sujets personnels, comme la présence de son ami, le ministre du Tourisme Dessources, dans une délégation officielle avec l’oiseau voyageur, Laurent Saint-Cyr, ainsi que certains dossiers TI ZANMI PO WOUJ et leurs contrats…, sont jugés plus importants que les problèmes d’Haïti.
À la tête d’une délégation haïtienne qualifiée de haut niveau à Washington en septembre dernier, Monazard n’avait pas perçu le renouvellement de la loi HOPE/HELP comme un hasard, selon une source proche de son cabinet. D’après des analystes politiques et économiques, l’absence de renouvellement de la loi Hope/Help représente un échec majeur de la diplomatie haïtienne. Comme il s’agit d’une récompense de l’échec, l’ambassadeur DELATOUR n’a pas été convoqué pour une consultation.
Pendant ce temps, James Monazard continue de se faire passer pour un petit bourgeois et un ministre raciste, tandis que Harvel Jean-Baptiste se consolide davantage sous l’influence complice et suspecte des conseillers Louis Gérald Gilles et Smith Augustin.
redaction@analyseht.com





