Alors que les drones explosifs non revendiqués par la PNH continuent d’établir un climat d’insécurité au sein des agents d’insécurité qui vivent ensemble de l’insécurité, des notables de Kenscoff alertent Fritz A. Jean sur le dossier de Kenscoff.
Après le show-off médiatique de son prédécesseur, Fritz Alphonse Jean doit s’efforcer pour éviter que le conflit de leadership au CSPN n’affecte pas les opérations policières. En clair, le bouton d’éveil sur Kenscoff ne doit pas être en mode OFF. Pour ce faire, les officiels haïtiens doivent agir sur Kenscoff pour contrecarrer la progression des gangs.
Les Kenscovites exigent des actions vite et rapides sur la commune, bien qu’ils émettent des réserves sur la volonté politique et technique soit du Premier ministre et des membres politiques du CSPN, soit sur certains hauts cadres qui composent le haut commandement de la PNH.
Kenscoff présente des potentiels importants en termes d’espace pour expérimenter les drones explosifs. Preuve que toute utilisation desdits drones à Kenscoff et dans les zones utilisées par les gangs représente le risque zéro en dommages collatéraux, tempête un haitiano-américain retraité de l’armée américaine vivant dans la commune.
Le Task-force ne devrait pas être une farce ni une force de pression et de répression, mais plutôt une force opérationnelle H24, de prévention et d’opération sur le terrain, dotée de capacités d’action et non de réaction.
