Après son grand exploit au cours des années 2002-2004 au Cap-haïtien avec le B52 aka Cyrus Sibert, Péguy Jean et le coach Jean Robert Lalanne, la radio maxima combattait à elle seule ce qu’on appelait la dictature d’Aristide et les « chimères lavalas » représentés entre autres par le duo Moise Jean Charles et Nawoon Marcellus… À l’époque, on était jeune, mais on pouvait facilement identifier les actes horribles du régime Lavalas.
Avec l’acquisition de la fréquence 98.1 fm et le silence sonore de Jean Robert Lalanne, Maxima a vagué en haute mer sans mât de direction. Sans se soucier des théories du patrimoine, les tenants de la radio Maxima n’ont laissé aucune trace aux capois.
Menm ti ma a pa egziste nan vil Okap !
Suite à la récente déclaration de Jovenel Moise relative aux prétendus liens qui existent entre bandits et journalistes, sans les nommer, Jovenel Moïse semble vouloir faire référence aux attitudes d’un prétendu photojournaliste jusqu’à présent méconnu de tous qui avait violemment frappés un policier avec sa caméra.
Malheureusement la corporation journalistique jalouse de son prétendu quatrième pouvoir et incapable de s’autocritiquer avait rejeté avec raison les déclarations de Jovenel Moise sans critiquer sévèrement le comportement du « photojournaliste ».
Étant qu’un média qui fait de la problématique de régulation des médias en ligne son cheval de bataille, nous questionnons l’attitude de certains militants du MTV de Boulos qui ont mis des cartes de presse de la prestigieuse radio maxima sous des t-shirts avec effigies MTV lors de la manifestation du 28 février.
Nous exigeons une prise de position publique du MTV et de Reginald Boulos sur cet épineux dossier avant qu’ils ne tentent de nous menacer et nous attaquer injustement.
Jovenel ne devrait pas avoir raison sur les journalistes certes, mais Reginald Boulos doit faire preuve d’un vrai leader en attendant que MTV se modernise davantage avec moins de 1000 followers sur Twitter.
La Redaction
