A vrai dire, il est fort probable que la DIGICEL et la NATCOM semblent vouloir jouer le rôle de régulation que devrait jouer le CONATEL.
Une année après sa prise de fonction, c’est un Jean Marie Guillaume mal à l’aise, inconfortable qui tentait d’expliquer la note relative au processus de régularisation de la vente de cartes SIM dans le pays.
Alors que des responsables de la Digicel persistent à nous faire croire que le processus de remplacement de cartes SIM de la compagnie rouge fonctionne normalement, des réactions pleuvent sur le contenu de notre article https://analyseht.com/digicel-fin-du-processus-de-remplacement-de-la-carte-sim/
Concernant la vente irrégulière et illégale de cartes SIM dans le pays, certains consommateurs interrogés par notre rédaction parlent d’une complicité “corruptible” entres les compagnies de téléphonies mobiles et le CONATEL, institution Etatique de régulation.
Préoccupé et impuissant, le CONATEL semble vouloir remédier cette situation. Des superviseurs seront déployés sur le terrain pour contrôler la vente illégale et mafieuse de cartes SIM, annonce sans trop de détails le Directeur du CONATEL, Léon Jean Marie Guillaume.
Un projet ambitieux mais irréaliste, confie un spécialiste en télécommunication contacté par Analyse Média.
Si les responsables de la DIGICEL et de la NATCOM félicitent la décision prise par le CONATEL, toutefois, les menaces de sanctions proférées par le Directeur Jean Marie-Guillaume pourraient susciter un malaise et diminueraient l’autorité régulatrice du CONATEL.
Comment contrôler la vente de cartes SIM dans le pays ? Quel rôle devrait jouer les compagnies de téléphonies mobiles dans le processus de régulation et de normalisation ? Que dit la loi sur ce dossier ? Qu’est-ce qui explique l’impuissance du CONATEL face aux responsables de la DIGICEL, entre autres…
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