Peu après la célébration dela neuvième édition de la semaine de la diaspora, on revient sur des questionnements adressés par les élèves français aux journalistes bénévoles qui interviennent dans le cadre du projet d’éducation aux médias porté par l’association Entre les lignes lors de la semaine de la presse à l’école, pour essayer d’analyser la vidéo diffusée par le Consulat d’Haïti à Santiago.
Qui choisit les personnalités ? Pourquoi le service culturel du Consulat a omis l’un des secteurs représentatifs qu’est le secteur éducatif ? N’existe-t-il pas des professeurs/enseignants haïtiens qui participaient à la formation des jeunes Dominicains et/ou Haïtiens dans des écoles et/ou Universités de Santiago, une ville dominicaine avec un pourcentage si élevé d’étudiants haïtiens.
Moins de six(6) mois au Consulat d’Haïti à Santiago, le Consul Général James JACQUES a innové la neuvième édition de la semaine de la diaspora traditionnellement considérée comme une manne financière.
Suivez nos regards !
A part quelques conférences sur la problématique de la migration et des relations bilatérales, la célébration de la semaine mondiale de la diaspora en République voisine crée plus de problèmes qu’elle n’en résout.
Edwing Paraison ne dirait pas le contraire !
A travers la vidéo diffusée par l’équipe haïtienne de communication du Consulat d’Haïti à Santiago (on signale qu’il existe dans d’autres postes diplomatiques et consulaires deux équipes de communication) l’accent a été mis sur les secteurs représentatifs et des personnalités, qui par leur travaux contribuent effectivement à rehausser la culture haïtienne, le vécu haïtien et l’être Ayitien en territoire voisine. Fallait toutefois que le responsable de la section culturelle du Consulat puisse proposer au Consul Général la liste ou non des éducateurs/professeurs haïtiens qui mettent leur science et leur compétence académiques aux services de la jeunesse haïtienne et/ou dominicaine.
La célébration de la IXème édition de la semaine de la diaspora par le Consulat Général d’Haïti à Santiago a été une initiative louable qui doit pérenniser et donner matière aux autres diplomates fraichement installés une occasion de jeter les bases vers l’élaboration d’un livre blanc de la diaspora. Une idée qui fait corps avec celle prônée par notre confrère journaliste Remarais Jean Baptiste.
Michel PAULPour visualiser le résumé des activités réalisées à l’occasion de la neuvième édition de la semaine de la diaspora https://fb.watch/55hKCcQZKC/
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