L’heure est grave ! Censurer Dominique Dupuy est nécessaire, mais le motif reste insuffisant.
Qui sont les ultranationalistes dominicains qui manipulent les membres du CPT ? Leslie Voltaire est-il de retour avec d’autres missions et d’autres plans pour faire sauter Garry CONILLE ?
On sait que Dominique Dupuy a outrepassé ses limites en critiquant vertement Abinader et en prenant position clairement pour Haïti à deux reprises. La chancelière n’a-t-elle pas été trop bavarde lors des préparatifs pour l’investiture d’Abinader et aussi lors de ses arguments rectificatifs autour des déclarations du président Ruto du Kenya visant la mission de sécurité et la République dominicaine ?
De notre source en République dominicaine, Abinader et les représentants des ultranationalistes en Haïti n’arrivent pas à comprendre ni à digérer le refus de Dominique Dupuy pour visiter la République dominicaine, comme ce fut le cas pour Claude Joseph et d’autres chanceliers. Suivez nos regards !
Ne voulant pas visiter la République dominicaine et recevoir des CADEAUX ONÉREUX et des directives diplomatiques en République Dominicaine, n’est-ce pas un affront pour Abinader et les patrons du CPT qui sont de mèche dans le lobbying anti-Haïti en République dominicaine ?
Toutefois, on doit clairement avouer que ce qui se passe actuellement, c’est la faute à Garry CONILLE. C’est bien lui qui a accepté de siéger avec les trois (3) conseillers de la BNC au conseil présidentiel en ouvrant la boite de pandore à l’ULCC.
Il ne saurait exister une diplomatie de la corruption. Les trois (3) conseillers indexés dans le scandale de la BNC ne devraient nullement investir d’un quelconque pouvoir décisionnel, voire des attributions présidentielles.
Le problème n’est pas qu’au ministère des Affaires étrangères : il est au Conseil présidentiel.