Après l’humiliation de Jorchemy Jean-Baptiste suite à l’affront subi par le ministre Gilles de la santé publique, TOUTOUNI ne jure que par le boycott de Gérald Gilles.
Si les deux parties du 21 décembre ne veulent/peuvent pas s’entendre, Jorchemy Jean-Baptiste pourrait devenir le plus jeune conseiller-présidentiel de la transition.
Entre-temps, les directeurs généraux Jovenelistes, les structures étatiques et institutionnelles acquises à la cause de Louis Gérald Gilles font monter les enchères et foure pye nan tchaka.
Pour remplacer Gérald Gilles et ses acolytes, il faut absolument passer à la caisse et offrir mieux. Donc, pour combattre des corrompus, on doit être prêt à livrer la bataille contre la corruption institutionnelle.
Et que faire lorsque le CPT sent l’odeur de la corruption ?
Comment exiger d’autres nominations avec l’empreinte des trois banquiers du CPT ?
Qui peut attendre au mieux avec une présidence LAVALAS?
Où est passé MONTANA qui fatiguait Jovenel Moïse et Ariel Henry sur la pente raide de l’hôtel MONTANA ?
Face à une pareille situation, il faut que l’on soit rationnel ! Aucun directeur général ne saurait suivre la voie de Raoul Pierre-Louis. Au contraire, les dés sont jetés ! À corruption, corruption trois quarts !