À chaque bruit de changement de direction, Erol Josué, après plus de douze (12) ans au poste de directeur général pour faire le travail des douze disciples des dieux, change aussi de stratégie.
Sur le réseau social du Bureau National d’Ethnologie (BNE) qui apparemment fonctionne comme un bureau privé, Bureau n+1 EROL on peut lire des fragments de textes de contenu varié, au fond enrichissant, mais de forme non formelle.
Qui gère la communication au BNE ? Erol Josué ? Qui gère les affaires administratives, les ressources humaines ? Tout ce fait suivant l’humeur du chef des tribus qui semblerait n’accepter que des vodouisants et/ou des initiés de la franc-maçonnerie à ses côtés, affirme un employé en colère. Sinon… bienvenue à la TNH, au théâtre national ou ailleurs… (Nous promettons toutefois d’en revenir sur l’information de l’employé en question pour les besoins du journal.
Pour rappel, en octobre 2012, lors de l’installation d’Erol Josué par l’ex-ministre Mario Dupuy qui avait inscrit ledit changement en conformité avec la tradition républicaine afin d’assurer la survie et garantir l’efficacité, les employés de l’époque avaient adressé des messages de colère contre la directrice sortante Suze Mathieu. « Kolon an pala ankò, nou sòti nan chan kann nan pou toutan, nou pap janm regrèt ou giyon, nou pap janm sonje … »
Se référant à la gestion administrative d’Erol Josué, un des employés questionnés sur le message antérieur affirme qu’Erol Josué, c’est pire qu’un colon qui gère les employés comme des esclaves 2.0 pour ses besoins artistiques.