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Jovenel Moïse, assassinat ou décès: le périple des journalistes du premier degré

 Quid des journalistes du premier degré qui font un traitement au premier du mot décès. L’imbécillité est une chose sérieuse ! 

N’est-il pas temps que nos influenceurs-RANSÈ cessent de manipuler une population en agonie. N’est-il pas temps qu’on (re)définisse l’audience de qualité au niveau de l’écosystème médiatique ?

Sous la base de la critique des médias, la rédaction d’Analyse Média entend clarifier pour ses lecteurs avisés sa compréhension sur l’utilisation du mot DÉCÈS par Marie Elizabeth Régine Haddad, la toute-puissante secrétaire générale du palais national. 

En dehors des critiques de premier degré articulées par les adeptes de l’audience à tout prix, le choix du concept de DÉCÈS n’a aucune ambiguïté si on le prend au sens administratif et juridique. D’ailleurs, l’acte juridique en question devrait être un certificat/acte de DÉCÈS avec ASSASSINAT comme cause de décès pour Jovenel Moïse. 

Il n’est nullement mentionné un certificat d’assassinat par le juge. On comprend qu’il n’est pas permis aux journalistes de premier degré de saisir un cadre conceptuel. Le journaliste est l’un des beaux métiers. Tout journaliste qui se respecte doit choisir l’analyse et la compréhension au second degré et non le buzz comme méthode d’audience. 

redaction@analyseht.com

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