À jour j- 29 de la passation du canapé présidentiel à Fritz Alphonse Jean, et à quelques heures des changements des Directeurs généraux corrompus ou non dans l’administration publique haïtienne, l’ULCC, la DCPJ et le commissaire du gouvernement, s’il en existe, devraient s’unir leurs forces pour empêcher la fuite de ses cerveaux expérimentés qui pourraient nous aider à comprendre le financement national des gangs en Haïti.
Comme la période de renouvellement du mandat de la MINUSTHA, chaque annonce de changement des directeurs généraux, des rafales d’armes automatiques, des menaces sur les centres éducatifs se multiplient.
La dernière sortie de Pierre Espérance relative à une exigence d’un moratoire sur les nominations pourrait constituer une lueur d’espoir aux directeurs en poste et une victoire pour l’impunité et la corruption institutionnelle.
