Dans un tweet devenu virale sur les réseaux sociaux, on peut constater un Réginald Boulos qui essaie d’abandonner les deux anciennes voies de la politique, auxquelles l’on faisait souvent référence pour parler de lui pour s’être montré enfin préoccupé et révolté contre la misère du peuple haïtien. Une misère concoctée par sa bande et consorts.
Qui l’aurait cru ! Ce n’est pas un mystère !
La bible l’avait prédit. Les méchants n’hériteront pas le royaume céleste mais en Haïti le royaume des gangs est fructueux, seuls les boutiquiers de la classe « revendeuse » sont épargnés.
Comme un papa soucieux des résultats de ses fils, le père des enfants rebelles de cité soleil devenu BANDITS NOTOIRES par choix politique, n’avait pas encore ressenti la souffrance symbolique qu’imposait les gangs de cité soleil. L’appelation « d’agents communautaires » ait été affectueusement attribuée par Reginald Boulos aux chefs de gangs. A ce moment, la souffrance avait-elle Boulos comme patron ?
En 2011 avec Michel Martelly et récemment avec Jovenel Moïse, le soi-disant repenti politique n’avait pas compris la moralité de la souffrance et le mal souffrant du peuple haïtien.
S’il existe un point commun et totalement apprécié dans le tweet de Reginald Boulos, c’est le mot DÉMISSION! Oui ! La démission devrait être générale et généralisée. D’autant qu’elle est opportune et urgente. Les autorités politiques n’ont d’autres choix que démissionner. Le « djazz » inaudible du gouvernement doit changer de Maestro, de musicien et/ou de promoteur. Tout le monde ne peut malheureusement « danser TONY Mix ». Tout le monde ne peut OSER se faire insulter par la dame pluie après avoir payer un « ticket » au prix minimum de $100US à El Rancho.
La classe d’affaire « affairistes » doit démissionner de ses pratiques malsaines, de corruptions, de trafic d’armes et de vente de produits avariés. La justice doit démissionner de ses pratiques injustes.
Rien n’est plus souffrant et hideux de voir comme le sondage de BRIDES qu’un Juda probablement PDG de la production JOUR D’ART attribue à MTV HAITI le titre de parti politique de l’année. Un vrai faux MODELE d’échange de service.
NI SAN NI CASSE ?
Si Boulos souffrait du nombre de véhicules NISSAN vendu pour l’année, en raison de la crise sanitaire mondiale, tout peut se confirmer qu’il continue à nous faire rêver avec la commercialisation, sans frontière de ses NISSAN. Certes, Boulos prône une démission en douceur de nos décideurs de la même manière qu’il s’était converti en conseiller de Jovenel Moïse en invitant ce dernier à se passer de cette législature.
Boulos révolté !
Boulos qui utilise le mot souffrance dans son imaginaire ! Voilà le Boulos corrigé, rénové et innové et le boul d’Or que le pays assistait depuis les émeutes du 6,7 juillet 2018.
Chak Ayisyen yon NISSAN ? Slogan 2021 ?
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