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Sanctions Canadiennes : Et si Laurent Lamothe achète son innocence

En conférence de presse virtuelle, sur zoom avec des journalistes haïtiens, disponibles que sur le compte YouTube de Laurent Lamothe, la Fondation Droits Humains Sans Frontières a estimé que les sanctions canadiennes ont été politisées. Qui n’est pas politisé en Haïti ?

Deux mois semblent suffire aux responsables du DHSF, expliquant leur méthodologie de travail basée sur des recherches et des enquêtes de terrain, pour constater des faits de violations des Droits Humains à l’encontre des personnalités ciblées par le Canada. Attention au généraliste ! Quid des vrais collaborateurs des gangs ?

Pourquoi le Protecteur du Citoyen, Renan Hedouville, a-t-il accepté de collaborer en répondant illico aux questionnaires de DHSF et rejette-t-il catégoriquement les correspondances envoyées par Jean Henry Céant? Pourquoi aucune des organisations/personnalités rencontrées par DHSF refusent-elles de prendre une position publiquement pour ou contre certains sanctionnés ?

Connaissant l’importance du carnet d’adresses de Laurent Lamothe à l’échelle internationale et spécialement en Amérique Latine, bastion de SOLA, Lamothe peut mettre en rang des organisations de haut rang pour défendre la personne de Laurent. Suivez nos regards !

En effet, en lisant les récriminations de Salim Sucar, on constate qu’il est aussi surpris d’être sanctionné. On en déduit que les démarches commanditées ou non par le DHSF ne doivent pas être tombées dans l’océan du mensonge.

Par ailleurs, les démarches de Jean Henry CEANT semblent trouver un écho favorable auprès des responsables du DHSF.
Bon signe !
En raison des sanctions imposées et des relations qui existent, ainsi que celles qui sont sur la liste d’attente, nous risquons de nous retrouver dans une tour de Babel construite par des innocents et des BON TIMOUN.

Nous espérons que les démarches du DHSF soient prises au sérieux et avec une dimension POLITIQUE. Aussi, nous espérons que les démarches du DHSF ne vont pas retarder la publication des nouveaux sanctionnés.

D’ailleurs, l’opinion et la clameur publique haïtienne attendent de vrais noms.

Si l’on acceptait que le Canada dicte la politique haïtienne ;

Si nous espérions ardemment le soutien du Canada en ce qui a trait à la sécurité ;

Si l’ambassadeur Carrière avait le feu vert pour caricaturer nos hommes politiques, dessinés la longueur des cuisses de nos femmes, de montrer à lire et à écrire nos intellectuels… Nous devrions aussi nous attendre à des sanctions, des punitions, des injonctions…

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