Jadis, les écrits critiques contre le FNE visaient à intensifier une propagande POLITIQUE envers le PHTK et les TET KALE.
En vrai, ces individus n’avaient pas tort, vu que la transparence des données chiffrées faisait défaut.
Étant impossible de réinventer le temps, si on ne se limitait qu’aux écrits analytiques critiques de Robert Berrouët-Oriol, il nous serait difficile de comprendre quelques progrès réalisés au FNE en trois (3) ans seulement.
Pour sceller et cerner les succès du FNE sous la gestion managériale de Jean Ronald Joseph, on devrait, comme lui, comprendre la société hypocrite haïtienne et les faits sociaux.
En faisant de la critique une arme de combat plutôt qu’un outil académique, les anti-PHTK n’oseraient pas avouer que le programme KORE ETIDYAN a démocratisé l’accès aux ordinateurs portatifs pour les étudiants haïtiens.
Comme il fallait analyser et rechercher les initiatives innovantes au FNE, on mettra quiconque en défi de nous contredire sur les bienfaits de la démocratisation des appuis financiers que reçoivent les étudiants.
Plusieurs étudiants ont abandonné leurs études et leurs projets académiques à cause d’un ordinateur portable avant les TET KALE. On avoue aussi que plusieurs étudiants et chercheurs ont préféré abandonner le second et le troisième cycle académique, faute d’appui financier pour pouvoir se conformer aux exigences académiques des universités. Et si KORE ETIDYAN existait depuis 2009 ? Et si Ronald Joseph dirigeait le FNE depuis 2017 ?
On laisse le soin au responsable de communication du FNE, s’il en existe ou non, de pouvoir mieux faire comprendre avec des données chiffrées le nombre d’étudiants qui ont bénéficié et qui continuent de bénéficier du support financier du FNE dans le cadre de leurs progressions académiques. Ainsi que le pourcentage d’étudiants pris en charge financièrement par le FNE.
