Malgré la situation sécuritaire préoccupante dans les parages du champ de Mars, une institution étatique reste debout, sans faire du commerce illicite et sans industrie de marchandage et de racketteurs. Comment est-ce possible ?
En comparant l’état de délabrement des locaux de la DGI, du ministère de la Culture, du MJSP, du MAST et du ministère de l’Intérieur bien avant son dysfonctionnement… La gestion et la maintenance des locaux du ministère du Commerce jusqu’aux quatrièmes (4) étages étonnent plus d’un.
Une équipe de journalistes d’analyse média de passage au ministère le 30 décembre 2024 et le 09 janvier 2025 a fait le constat d’un ministère qui, malgré la situation de crise, fonctionne de façon normale.
Mis à part les petites réparations à effectuer au rez-de-chaussée et le personnel de réception qui mérite une séance de formation ainsi que des véhicules abandonnés dans le parking, on doit mentionner que l’un des ascenseurs mérite une bonne maintenance.
Au quatrième étage, où se trouvent plusieurs directions importantes, dont les directions juridiques et du commerce intérieur, parmi les plus visitées, l’affluence est énorme.
Rares sont les institutions et les directions qui fournissent un travail d’envergure où la corruption et des pots-de-vin ne sont pas au rendez-vous. Accueil. Réception. Traitement de dossiers. Prise en charge des demandeurs de services. Deux équipes dynamiques travaillent parfois jusqu’à 6 h pm, question de fournir un service exemplaire.
Avec l’installation d’un nouveau directeur général et d’un administrateur, des doutes persistent sur leur capacité de gestion et sur la maintenance régulière qui doit être faite au sein des locaux dudit ministère.
Bien que les étages supérieurs ne soient pas visités par notre équipe, des employés contactés témoignent d’une négligence dans certains bureaux, surtout au niveau des escaliers où d’importants travaux méritent d’être effectués, ainsi que dans plusieurs toilettes.
En attente de la partie 2 !