Après la 16ᵉ édition du PAPJAZ qui, pratiquement, n’avait rien apporté pour la ville du Cap, nauséabonde et en putréfaction. La nature a horreur du vide d’esprit en termes de développement de nos dirigeants Capois.
Pour justifier ledit vide aussi le financement de l’UNESCO, les membres de ADAAC (l’Association des artistes et artisans de la Croix-des-Bouquets) ont aussi utilisé la propagande OKAP PA AYITI pour découper en miettes entr’eux le soutien accordé par l’UNESCO, en collaboration avec le ministère de la Culture.
La résidence artistique, bien que logistiquement très coûteuse, rejoint initialement la mise en œuvre du projet de soutien aux artistes et aux artisans pour sauvegarder le patrimoine culturel immatériel du métal découpé, d’une part.
Le lieu politiquement bien choisi, ladite résidence ne représente-t-elle pas, d’autre part, une excellente occasion pour permettre aux responsables de IPAM (L’Initiative des Patriotes Marien) de se renforcer davantage dans le nord en utilisant le culturel pour des objectifs politiques?
Pour rappel, le directeur général, Jean Garry Denis, du ministère Fritz Alphonse Jean de la Culture et de la communication, est aussi un pion important de l’enracinement de l’IPAM dans la transition CPT-Conille.
