Profitant de la visite officieuse de son allié lavalas dans la ville du Cap haïtien, l’ex-délégué du nord et DG lavalas tout-puissant du ministère de l’Intérieur des années 2000-2001 tente de se dédouaner de ses responsabilités. Lesquelles responsabilités avaient encouragé des constructions anarchiques, dont à barrière bouteille, et l’implémentation des bases Pro-LAVALAS dans des zones inhabitables et des quartiers populaires dont NAN BANNANN, Shada, Kiteyo, cité lescot, nan ranblè entre autres…
En effet, en raison des conséquences douloureuses des inondations dans le nord, Bell Angelot a recommandé le renvoi des autorités locales.
S’il est avéré que les trois Almonors de la mairie du Cap ainsi que le délégué sont dépassés, il revient aussi à considérer que le non-paiement des taxes communales par les entreprises Capoises aurait limité les recettes et les manœuvres de la mairie, lui empêchant de faire de son mieux.
Wilson Jeudy ne saurait se considérer comme un modèle de maire à Delmas sans la perception des taxes communales. Plusieurs entreprises éducatives, dont le collège Bell Angelot, entre autres écoles de la ville, plusieurs hôtels et restaurants du boulevard et ailleurs, ne sont pas en règle avec la municipalité du Cap-haïtien. Les entreprises veulent plutôt corrompre les fiscalistes de la mairie du Cap-Haïtien pour empêcher toute vérification.
D’ailleurs, on signale un réseau de corrompus à la DGI dans le nord qui procède au renouvellement d’impôt sur le revenu des grands contribuables de la ville sous forme NÉANT ; de montants forfaitaires ou dérisoires.
