Un atelier sur l’éthique et l’intégrité organisé par la CAS sous prétexte de combattre la corruption.
Après le ministre humanitaire de la Justice, c’est au tour du ministre Georges Wilbert Franck qui asphyxie le budget de son ministère à la fin de l’exercice fiscal. Encore une aubaine offerte à nos patrons d’hôtels de luxe ?
Jusqu’à quand l’Arrêté sur le train de vie de l’État sera définitivement respecté ? N’existe-t-il pas des espaces étatiques appropriés pour la tenue d’un événement ? D’abord, sur le principe, l’idée de l’atelier est bonne. Ensuite, sur le fond, en voulant combattre la corruption, l’atelier en soi ne représente-t-il pas une source de corruption et d’enrichissement ? Comment lancer un atelier visant la formation des employés sans les évaluer ? Que se passe-t-il dans la tête du ministre Franck et du directeur Devallon ? Suivez nos regards !
Comment combattre la corruption à la CAS, lorsque 90% des directeurs antérieurs ont été indexés dans des actes de corruption. Pour avoir servi aux côtés desdits directeurs corrompus, l’actuel directeur de la CAS, Elionor Devallon, ne pourrait-il pas servir comme un cas pour aider la CAS?
Le leadership du Ministre Franck a été mis à terre depuis la nomination du Directeur Devallon. N’est-ce pas aussi un cas qui peut prouver que des éléments puissants externes, des forces obscures, des corrompus de grands chemins sont celles et ceux qui pilotent la barque corrompue de la CAS ?
