Vives félicitations à celui qui a rédigé le discours d’Haïti à l’ONU.
Edgard, le fils du BLAN, ne saurait être ni critiqué ni félicité.
Suivant notre analyse, les éléments de langage du discours pourraient être la principale cause du conflit de représentation et du coup d’État diplomatique ou encore de la honte diplomatique d’Haïti à l’ONU en 2024. L’histoire se souvient des noms des complotistes !
On comprend le caractère one-man-show du duo CONILLE-Manigat. On comprend aussi l’attitude de Lesly Voltaire pour s’autoproclamer président d’Haïti.
Tous LAVALAS. Tout Aristidien voulait prononcer un discours pareil qui met en exergue l’Haïti du 19ᵉ siècle, l’Haïti à placer dans les musées, s’il y en avait.
Quid d’Haïti aux 20 et 21ᵉ siècles, dominés par le State Département et l’ambassade à Tabarre ?
Parler de restitution et de réparation, c’est loin de ressusciter Aristide et les LAVALAS.
Il est venu le temps de parler de souveraineté et du droit d’Haïti à décider de sa coopération internationale et diplomatique. Le temps de ne pas considérer Haïti comme l’arrière-cour… Malheureusement, le fait par l’ambassade et le State Department de décider sur la libre circulation de son fils Edgard jusqu’à l’autoriser à se déplacer en dit long sur celui qui aurait partagé les grandes lignes du discours jusqu’à celles et ceux de l’ambassade qui ont scruté à la loupe le discours pour l’ambassadeur.
