Sans oser faire la promotion de la violence ni même revendiquer la violence symbolique, la société doit mettre fin à cette pratique de discrimination sociale.
En les regardant passer avec détermination, la rage de vaincre, sueur au front, ses laissés-pour-compte, ses déshérités qu’on qualifie de « chimère », de « bandits » et/ou « de militants politiques » qui représentent le bas peuple doivent enfin trouver une place dans la société.
Pour eux, l’ultime raison d’assurer leur survie c’est qu’ils fassent luire le soleil à Pétion-ville.
FOK SOLEY LA BRIYE NAN PETYONVIL
On a cassé! On a brûlé ! Nèg yo piye ! Nèg yo dechouke! On a volé !
Faudrait-il enfin identifier et donner de l’espoir à ces ON, ces YO qui nous perturbent la vie et nous font penser à leur existence?
SR
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